Photo: Claude Almodovar |
Le 1er juillet, les Journées du Reportage
Reportage de Claude Almodovar.
Claude ALMODOVAR, photographe indépendant depuis 1989 après des études à l’école d’Art de Marseille Luminy .
J’effectue régulièrement des reportages pour la presse (nationale, institutionnelle et d’entreprise).
Correspondant pour plusieurs titres de presse, je diffuse mes reportages d’archives dans la presse et l’édition via le site divergence-images.com
Rue d'Aubagne : Chronique d'un drame annoncé
Après l’écroulement brutal de 3 immeubles dans le centre de Marseille le 5 novembre 2018 – 8 morts, des milliers de délogés -, les habitants se sont mobilisés, investissant l’espace public pour crier aux oreilles du pouvoir leur tristesse, leur indignation et leur colère…
« Ce drame n’est pas seulement le symptôme d’une ville fissurée et politiquement exsangue. Il parle de tant d’autres effondrements et de tant d’autres appels au respect. Au-delà du simple constat local, s’engage ici une réflexion sur les processus non avoués de gentrification des centres urbains et sur la participation des habitants à la gestion de leur ville. Editions Parenthèses 2019 - Rue d’Aubagne/ Récit d’une rupture »
Derrière des immeubles, des numéros de rue, il y a des drames humains, des vies, des familles, des individus. A ce jour et 18 mois après le drame, pour l’ensemble des 400 immeubles de la ville, en arrêtés de péril, rien n’a été fait comme l’a dénoncé la Fondation Abbé Pierre en novembre 2019.
J’effectue régulièrement des reportages pour la presse (nationale, institutionnelle et d’entreprise).
Correspondant pour plusieurs titres de presse, je diffuse mes reportages d’archives dans la presse et l’édition via le site divergence-images.com
Rue d'Aubagne : Chronique d'un drame annoncé
Après l’écroulement brutal de 3 immeubles dans le centre de Marseille le 5 novembre 2018 – 8 morts, des milliers de délogés -, les habitants se sont mobilisés, investissant l’espace public pour crier aux oreilles du pouvoir leur tristesse, leur indignation et leur colère…
« Ce drame n’est pas seulement le symptôme d’une ville fissurée et politiquement exsangue. Il parle de tant d’autres effondrements et de tant d’autres appels au respect. Au-delà du simple constat local, s’engage ici une réflexion sur les processus non avoués de gentrification des centres urbains et sur la participation des habitants à la gestion de leur ville. Editions Parenthèses 2019 - Rue d’Aubagne/ Récit d’une rupture »
Derrière des immeubles, des numéros de rue, il y a des drames humains, des vies, des familles, des individus. A ce jour et 18 mois après le drame, pour l’ensemble des 400 immeubles de la ville, en arrêtés de péril, rien n’a été fait comme l’a dénoncé la Fondation Abbé Pierre en novembre 2019.